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Enregistrés en 2003, Les essais de Montaigne de la présente édition sonore sont une sélection d’écrits dont les thèmes trouvent écho aux questions contemporaines. Texte fondateur de la pensée intellectuelle occidentale, ces essais ont fait l’objet d’un travail de réécriture pour l’oralité par Olivier Cohen et devaient être interprétés par un grand comédien français. Michel Piccoli avait accepté le défi de cette performance sonore. Claude COLOMBINI FRÉMEAUX
« Un ‘contre-poison’ aux venins de notre temps : L’oeuvre, depuis longtemps, fait partie de celles que l’on n’étudie guère dans nos lycées. A peine la rencontre-t-on en classe de philosophie. On la lit peu ; l’écoutera-t-on plus ? L’éditeur, lui, en fait le pari. Il est vrai qu’il s’est donné un bel atout en en confiant la lecture à Michel Piccoli : la voix de l’acteur insuffle à ces Essais une telle vitalité qu’ils s’en trouvent éclairés et – ce qui est souvent même chose – éclairants pour la vie de chacun. De quoi donner raison à Etiemble qui avait vu en cette oeuvre un “contre-poison” aux venins de notre temps » Jérôme SERRI – LIRE
« Une voix universelle : […] Cette voix si moderne, étonnamment actuelle, chante la tolérance, crie la liberté, murmure la fragilité de « l’humaine condition ». Musique d’une langue que le comédien Michel Piccoli nous donne à entendre, prenant autant de plaisir à la mettre en bouche qu’on en éprouve à l’écouter. […] » S.V. – PHILOSOPHIE MAGAZINE
« Nous sommes chacun plus riche que nous ne pensons ; mais on nous dresse à l’emprunt et à la quête ; on nous forme à nous servir plus de l’autrui que du nôtre. » MONTAIGNE
« Les femmes n’ont pas tort du tout quand elles refusent les règles de vie qui sont introduites au monde, d’autant que ce sont les hommes qui les ont faites sans elles. » MONTAIGNE
« C’est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t’avertit dès l’entrée que je ne me suis proposé aucune fin, que domestique et privée. Je n’y ai eu aucune considération de ton service ni de ma gloire. » MONTAIGNE
Avis au lecteur • Par divers moyens on arrive à pareille fin • De la tristesse • Nos sentiments s’emportent au-delà de nous • De l’oisiveté • Du parler prompt ou tardif • Que le goût des biens et des maux • Que Philosopher, c’est apprendre à mourir • Le profit de l’un est dommage de l’autre • De la coutume, est de ne changer aisément une loi reçue • De l’institution des enfants • Je voudrais que le Paluël ou Pompée • Quel profit ne fera-t-il en ceste part là • A notre enfant, un cabinet, un jardin • De l’amitié • De la solitude • Des prières • De l’inconstance de nos actions • De la conscience • De l’exercice • Apologie de Raimond Sebond • Combien diversement jugeons-nous les choses ? • De la présomption • Je n’ai eu besoin que de la suffisance de me contenter • C’est un outil de merveilleux service que la mémoire • Du démentir • De trois commerces • De l’art de conférer • De la vanité • Ceux qui m’entendant dire mon insuffisance • De ménager sa volonté • De l’expérience • Le peuple se trompe • Je ne touche pas ici et ne mêle point à cette marmaille.
DIRECTION ARTISTIQUE : OLIVIER COHEN
« Un ‘contre-poison’ aux venins de notre temps : L’oeuvre, depuis longtemps, fait partie de celles que l’on n’étudie guère dans nos lycées. A peine la rencontre-t-on en classe de philosophie. On la lit peu ; l’écoutera-t-on plus ? L’éditeur, lui, en fait le pari. Il est vrai qu’il s’est donné un bel atout en en confiant la lecture à Michel Piccoli : la voix de l’acteur insuffle à ces Essais une telle vitalité qu’ils s’en trouvent éclairés et – ce qui est souvent même chose – éclairants pour la vie de chacun. De quoi donner raison à Etiemble qui avait vu en cette oeuvre un “contre-poison” aux venins de notre temps » Jérôme SERRI – LIRE
« Une voix universelle : […] Cette voix si moderne, étonnamment actuelle, chante la tolérance, crie la liberté, murmure la fragilité de « l’humaine condition ». Musique d’une langue que le comédien Michel Piccoli nous donne à entendre, prenant autant de plaisir à la mettre en bouche qu’on en éprouve à l’écouter. […] » S.V. – PHILOSOPHIE MAGAZINE
« Nous sommes chacun plus riche que nous ne pensons ; mais on nous dresse à l’emprunt et à la quête ; on nous forme à nous servir plus de l’autrui que du nôtre. » MONTAIGNE
« Les femmes n’ont pas tort du tout quand elles refusent les règles de vie qui sont introduites au monde, d’autant que ce sont les hommes qui les ont faites sans elles. » MONTAIGNE
« C’est ici un livre de bonne foi, lecteur. Il t’avertit dès l’entrée que je ne me suis proposé aucune fin, que domestique et privée. Je n’y ai eu aucune considération de ton service ni de ma gloire. » MONTAIGNE
Avis au lecteur • Par divers moyens on arrive à pareille fin • De la tristesse • Nos sentiments s’emportent au-delà de nous • De l’oisiveté • Du parler prompt ou tardif • Que le goût des biens et des maux • Que Philosopher, c’est apprendre à mourir • Le profit de l’un est dommage de l’autre • De la coutume, est de ne changer aisément une loi reçue • De l’institution des enfants • Je voudrais que le Paluël ou Pompée • Quel profit ne fera-t-il en ceste part là • A notre enfant, un cabinet, un jardin • De l’amitié • De la solitude • Des prières • De l’inconstance de nos actions • De la conscience • De l’exercice • Apologie de Raimond Sebond • Combien diversement jugeons-nous les choses ? • De la présomption • Je n’ai eu besoin que de la suffisance de me contenter • C’est un outil de merveilleux service que la mémoire • Du démentir • De trois commerces • De l’art de conférer • De la vanité • Ceux qui m’entendant dire mon insuffisance • De ménager sa volonté • De l’expérience • Le peuple se trompe • Je ne touche pas ici et ne mêle point à cette marmaille.
DIRECTION ARTISTIQUE : OLIVIER COHEN
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